Félicitée mesure 1.70m, ce qui est dans la moyenne pour les femmes de son espèce. Par contre, grosse, elle attire souvent les regards. En effet, depuis son enfance, elle a toujours été contrainte de manger jusqu’à l’overdose et en a garder cette manie. Boulimique, son péché reste avant tout le chocolat et, elle ferait n’importe quoi pour en avoir.

La vache n’est vraiment pas sportive et est carrément nulle pour tout ce qui touche aux activités physique. Enfin, il y a bien une pratique où elle tient la route, c’est quand elle « passe à la casserole ». Là, bizarrement, elle devient extrêmement sportive et en redemande toujours, s’épuisant peu.

Grosse, certaines personne, et même la majorité, ne la trouve pas du tout attirante. Pourtant, elle, elle s’aime comme elle est et a appris à ne pas complexer sur son corps. Il s’agit d’une perte de temps…En plus, elle n’a pas vraiment le choix : elle n’arrive pas vraiment à comprendre. Cependant, sa poitrine, très volumineuse, au contraire, en fait baver plus d’un. D’ailleurs, elle a énormément de montée de lait et doit se faire traire régulièrement, sous peine d’avoir affreusement mal et de souffrir.

Elle ne fume pas, ne boit pas et n’est pas tatouée. Félicitée est en bonne santé et, contrairement à ce que l’on pourrait penser, n’a aucun problème cardiaque ou autre maladie liée de près ou de loin à son poids.

Vivant, à l’origine, dans une ferme d’élevage douteuse, étant maltraitée, elle a peur de manquer de nourriture. Le fait d’avoir été habituée à être gavée, la vache est devenue boulimique. Le plus frappant et quand elle est triste, elle n’arrête pas de manger. Elle raffole du chocolat. Traitée, depuis sa naissance, comme un objet, elle a peur des autres et a très peu confiance. La vache se méfie constamment et redoute d’être traitée de nouveau comme ça. Cependant, elle a appris à s’ouvrir et à être heureuse, surtout avec son premier vrai maître.

Malheureusement, toute bonne chose ayant une fin, celui ne pouvant la supporter, l’abandonna. Félicitée a énormément peur, depuis, d’être abandonnée et, surtout, rejetée. Cette dernière a besoin d’énormément d’amour et de tendresse. Néanmoins, et c’est probablement paradoxale, elle est accro’ au sexe. Elle est une soumise accomplie et aime prendre du plaisir, que ça soit à deux, à plusieurs ou même seule.

Retardée mentale, le sachant, elle a la maturité d’un enfant et, par moment, parait totalement naïve et niaise. Cependant, elle est extrêmement intelligente et connait énormément de chose. Elle peut en surprendre plus d’un d’ailleurs. Mais, instable, elle pleure énormément et a besoin qu’on la console constamment durant ses crises qui, avec l’âge, diminuent de plus en plus. Avec tout ça, sachant qu’elle est un fardeau, elle culpabilise beaucoup, la faisant déprimer. Malgré tout, Félicitée reste une optimiste dans l’âme qui respire la joie de vivre.

Curieuse, elle aime découvrir de nouvelles choses et est émerveillée pour un rien. La vache aime également s’amuser.

Félicitée est née dans une ferme d’élevage, comme la plupart des hybrides de son espèce. Elle était, nourrisson, très fragile et sa santé instable. Souvent malade, les propriétaires ne lui donnaient pas beaucoup d’espoir, la pensant déjà condamnée. Mais, passant le premier hiver, bien que difficilement, elle prit par la suite des forces. En fait, c’était comme si un miracle s’était produit.
 
Enfin, vu ce qu’elle vécut par la suite, il aurait été surement souhaitable, pour l’hybride, de mourir. Elle, ainsi que sa famille étaient, il fallait le dire, très mal traité. Les propriétaires ne s’en souciaient pas plus que ça, ne pensant qu’à les revendre en faisant un maximum de profits. Le bétail n’était qu’une vulgaire marchandise pour eux, plus objets qu’esclaves. Oui, c’était pour les maîtres, comme vendre du matériel de bureau, ou toute autre chose sans vie. En tout cas, c’était assez similaire.
 
La vache fut vendue assez tôt pour rejoindre une usine de compagnie laitière. Là, ce fut encore pire : gavée comme une oie et attachée à une étrange machine, on ne s’intéressait pas à elle. Son travail ? Fournir le plus de lait possible. Elle était, avec cette machine, traie constamment. C’était l’une des raisons du pourquoi on la sur-nourrissait. L’autre était que, d’après les croyances du cruel patron, une grosse bovine donnait plus de lait. Pendant dix ans, ce fut le même calvaire, sans arrêt. Même la nuit, dormant, elle se faisait traire !
 
Heureusement qu’un des employés, venant de se faire viré, voulut se venger. Ce dernier kidnappa Félicitée sans qu’elle puisse dire un mot. Originellement, le furry avait décidé de l’abandonner au milieu de nulle part. Mais, après avoir passé plusieurs minutes avec elle, il la garda. Ce fut dès ce jour que l’hybride eut une vie de véritable esclave…Enfin, elle était bien plus qu’une esclave, mais n’était pas une citoyenne pour autant. Elle aimait cette vie, sincèrement. Elle y apprit à lire, à compter, à parler et à tenir des conversations, à apprécier le sexe etc…Mais, le problème était que, bien qu’intelligente et ayant obtenue pas mal de savoir, la jeune femelle était une retardée mentale. Elle agissait, pas tout le temps néanmoins, comme une enfant. Au début, c’était assez amusant, il fallait le dire. Cependant, avec le temps, ça l’était nettement moins pour le furry qui décida de se séparer d’elle. Ce fut, pour l’un comme pour l’autre, un déchirement.
 
Au départ, elle devait rejoindre une sorte de refuge. C’était souvent ici qu’étaient laissées les esclaves abandonnés ou sans maîtres. Mais, complet, Félicitée fut refusée. Une vache, demandant de l’entretien, bien plus qu’un chien ou qu’un chat, personne n’allait en vouloir en plus de ça. Son retard posait aussi problème, qui voudrait d’un esclave handicapée mentalement ? Non, il fallait trouver une autre solution. Il restait le marché, il ne voyait que ça.
 
Ce fut donc comme ça que Félicitée se retrouva dans le Sud, sur la place d’une ville totalement inconnue. En compagnie d’autres esclaves, elle serait vendue à la personne la plus généreuse, concernant son offre. Mais, la question était de savoir, qui avait besoin d’une vache. Son ancien maître, l’abandonnant, elle redoute à présent la personne qui la rachètera…Si elle se faisait acheter. Mais, ça, personne ne s’en soucie vraiment, tous ceux qui veulent c’est l’argent, rien d’autres. Malheureuse, elle attend donc, espérant tomber sur quelqu’un de bien.